jeudi 26 avril 2012

♪ Qué Viva el Peru Señores ♪




Desde que era niña aprendí a querer
a esta tierra hermosa que me vio nacer y aprendí
la historia de mi gran nación que llena de gloria nuestro corazón.

Y aprendí, aprendí, aprendí, que el Perú es Machupicchu
y es el Señor de Sipán como las líneas de Nazca y
las ruinas de Chán Chán, paracas Chavín de Huantar
los Mochicas y los Chimues los Waris y
Cusihuantas orgullos de mi Perú
país de hombres y mujeres de irreductible valor
del imperio de los incas y el grito libertador.

2 de mayo en ayacucho 2 de mayo en el callo
Perú es Alfonso Ugarte, bolognesi y Miguel Grau,
que viva el Perú señores que viva la vida entera
que vivan nuestros colores arriba nuestra bandera.

Por que soy peruana
yo vivo orgullos
de mi  tierra hermosa de mi patria entera
arriba mi costa y mi cordillera
arriba la selva de todas maneras
por que soy peruano yo vivo orgulloso
de mi tierra hermosa de mi patria entera
arriba mi costa y mi cordillera,
arriba la selva  de todas maneras,
que viva el Perú señores… Viva el Perú

País lleno de cantares
que nacen del corazón
trovadores y  juglares que cantan con emoción,
una voz, una guitarra y el golpe de un buen cajón
es todo lo que hace falta
y armamos el jaranón,
señor que feliz me siento si escucho una marinera
tonderos valses criollos cualquier canción de mi tierra

Por que soy peruana
yo vivo orgullosa
de mi  tierra hermosa
de mi patria entera
Arriba la selva de mi compañera,
arriba la selva de todas maneras,
por que soy peruano
yo vivo orgulloso de mi tierra hermosa
de mi patria entera arriba la costa
y mi cordillera
arriba la selva de todas maneras
Que Viva el Perú Señores… Viva el Perú.

Suspiro a la Limeña

El suspiro de limeña, conocido también como suspiro limeñosuspiro a la limeña, es un postre tradicional de la gastronomía del Perú teniendo su origen en la capital peruana.

Origen 

Los orígenes del postre se dan a mediados del siglo XIX en la ciudad de Lima,Perú, sin embargo tiene una clara influencia islámica. El primer dato que se tiene respecto a su elaboración se encuentra reseñado en el Nuevo Diccionario Americano de Cocina del año 1868 bajo el nombre de Manjar Real del Perú.
La historia de su elaboración se inicia con la esposa del poeta José Gálvez Barrenechea, llamada Amparo Ayarez, quien ideó la receta. El poeta bautiza el postre porque es suave y dulce como el suspiro de una mujer, así se conoce como suspiro de limeña .
La base de su elaboración es el manjar blanco (o menjar blanc) que es un genérico que se remonta a las culturas medievales. El manjar blanco llegó procedente de España al Perú. Se presentaba como una crema espesa compuesta de leche, almendras y azúcar; de unos ingredientes de origen árabe e ibérico.
El manjar blanco así descrito, fue considerado un plato que la cocina medieval española aportó a Europa. En Francia fue recogido como "mangier Blanc", en Italia se llamó "Blanc mangieri".
En el Perú se conocieron dos versiones del menjar blanc: la del manjar blanco con pechuga de gallina y azúcar y espesado con harina de arroz; y el manjar blanco sin pechuga de gallina con sólo azúcar y harina, de donde nació el Suspiro de Limeña.
El otro elemento del Suspiro de Limeña es el merengue, postre también traído al Perú por parte de los españoles. En España se conoce como Suspiro un postre elaborado a base de merengue, de donde se entiende el origen del nombre al ponerle al tradicional suspiro un poco de originalidad.
Este postre es consumido principalmente en la ciudad de Lima aunque también en las demás ciudades del Perú y ciertos países limítrofes. En los últimos años, debido a la internacionalización de la gastronomía peruana, el consumo del postre se ha ido extendiendo a otros países del mundo donde los peruanos han emigrado y abierto restaurantes.

Fuente : Wikipedia


Receta 

Ingredientes 
- 1 lata de leche evaporada grande
- 1 lata de leche condensada
- 5yemas
- 3 claras
- 1 taza de azucar 
- Vainilla al gusto 
- Oporto que cubra el azucar 

Preparacion 

1) Vaciar en una cacerola grande las leches. Llevar al fuego hasta formar un manjar espeso.
2) Retirar del fuego y agregar las yemas y vainilla, dejar enfriar, para vaciar en una dulcera. 
3) Incluir el azucar y el oporto en una olla y formar un almibar a punto de hebra (¿Qué es punto de hebra? Punto en el almíbar  es cuando, cogiendo una gota de él entre dos dedos y separándolos, queda un filamento entre ambos.En este caso se obtiene un hilo grueso,fuerte y consistente)
4) Batir las claras a punto de nieve y añadir el almibar, batiendo constantemente hasta enfriar. 
5) Con este merengue se decora el manjarblanco de yemas y espolvorear con canela molida. 

Fuente : Manual de Reposteria 


  

Culture Lambayeque

Lambayeque – ou encore Sicán – recouvre une expression culturelle florissante dans la vallée de La Leche sur la côte nord du Pérou, aux environs de l'an 700 et 1300 Apr. J.-C entre la fin de la culture Mochica et la splendeur de l'empire Chimú. Elle est historiquement liée à la phase d'expansion Tiahuanaco-Huari dont elle pourrait être un développement local. C'est une civilisation pré-incaique.

Origine 

Entre 900 et 1100, Batán Grande (à proximité de la ville actuelle de Chiclayo) est devenu le centre politique et religieux de la culture Lambayeque. Cette dernière occupait une aire géographique située au nord de l’actuel Pérou entre les peuples dominant l'Équateur au nord et les vastes royaumes des Chimú et des Chancay au sud. À cette époque, le peuple de Lambayeque prospérait en tant que communauté de marins et de commerçants voyageurs.
L'étymologie du mot Lambayeque proviendrait du muchik ou yunga, langues disparues à l'époque de la colonie, et qui étaient parlées depuis des temps immémoriaux sur la côte Nord du Pérou. Selon la version du chroniqueur Cabello de Balboa (1586), Lambayeque serait un dérivé du nom NampaIlec, autrement dit le mythique personnage de Naymlap

Architecture et Culture
Tumi, Représentation de Naylamp
Mise en évidence en 1979 par l'archéologue japonais Izumi Shimada - de l'université d' Harvard - au cours de fouilles concentrées autour du site de Batán Grande, la culture de Lambayeque produira les plus belles pièces d'orfèvrerie de l'ancien Pérou. Plusieurs de ses habitants travaillaient le métal avec adresse. Les tombeaux des seigneurs de Batán Grande contenaient des gobelets d'or et d'argent (keros), des émeraudes, des perles et des «fardos funéraires» contenant des masques d'or ornés de pierres semi-précieuses, de coquillages et de plumes. D'autres artefacts, faits d'argile, de bois incrusté de coquillages et de textiles représentent des oiseaux marins, des poissons et des scènes où des plongeurs pêchent le coquillage Spondyle, qui était cueilli plus au nord, en Équateur. Les écrits des Espagnols qui ont colonisé la région indiquent qu'un responsable du plus haut niveau devait créer un tapis rouge, fait de coquilles de Spondyle pulvérisées sous les pas du souverain. 
Gobelet à secouer.
du IXème au XIème siècle 
Les textiles et nombreux objets en céramique et en métal provenant de la vallée de Lambayeque sont une combinaison d'éléments locaux, de Moche et de Huari incluant les caractéristiques comme les yeux, les couvre-chefs en forme de croissant, des motifs marins et des tapisseries à fentes. La représentation du personnage mythique de Naymlap, avec ses yeux exagérément bridés, revient régulièrement comme motif de décoration. Celle-ci a été retrouvée dans de nombreux sites archéologiques de la sphère culturelle de Lambayeque notamment lors de fouilles archéologiques dans la vallée du rio Saña sur des murs peints de rouge, blanc, noir. Des personnages identiques aux yeux en amande et portant une grande coiffe en demi-lune étaient semblables à l'effigie de Naymlap. Naymlap fut également représenté sur le fameux tumi de Lambayeque du Museo de Oro de Lima - couteau sacrificiel, le plus souvent en or et serti de pierres précieuses, utilisé dans les cultures Mochica et Lambayeque, - ainsi que sur divers objets en céramique ou sur tissu.

Principaux Sites
Chaque pyramide est régie par une société hiérarchique au sommet de laquelle siège un seigneur, considéré comme un demi-dieu. Les pyramides, dans la culture Lambayeque, jouent un rôle bien particulier : elles servent au seigneur à emprunter les pouvoirs des dieux de la montagne. De récentes découvertes indiquent que chaque site aurait été abandonné à la suite d'une catastrophe naturelle de grande envergure. En effet, les phénomènes météorologiques dus à l'El Niño, sont particulièrement violents dans cette partie du monde. Mais ces phénomènes sont alors justifiés de façon religieuse, comme l'expression de la colère des dieux : les pouvoirs des pyramides ont ainsi échoué à protéger la population. Les pyramides sont alors considérées comme maudites et incendiées dans un rituel de purification.

Batán Grande
Batán Grande
Batán Grande est situé dans la proche vallée du fleuve La Leche. Il s'agit là d'un ensemble de pyramides, connues sous les noms de Huaca de la Cruz, Huaca del Oro, Huaca Colorada et Huaca de los Ingenios, parmi d'autres. Ces constructions furent levées en Adobe (brique)adobes (argile séchée au soleil et mélangée avec de la paille, dont on fait des briques dites "briques crues") et en pierres, leurs murs recouverts d'enduits. À la suite d'une inondation, le site de Batàn Grande aurait été abandonné et incendié aux environs de 1100 après J.-C. et un nouveau site fut créé à Túcume. L'expansion du royaume Chimú – ayant pour capitale Chan Chan – aura pour conséquence la conquête du peuple lambayèque vers 1350 Apr. J.-C.

Túcume
Huacas (Temples) de Tucume
Túcume est situé dans la vallée de La Leche, proche des villages actuels de Mochumi et de Lambayeque, ce vaste complexe archéologique est également connu sous le nom de El Purgatorio. Il occupe une superficie de 220 ha comprenant 26 structures pyramidales datant sans doute de 600 à 1000 après J.-C. Il constitue l’apogée de l’architecture Lambayeque, influencée par les cultures Chimú et Tiahuanaco-Huari. Il devait s'agir d'une cité construite au pied d’une montagne, le Cerro la Raya, et dont le plan circulaire comprend des restes d'habitations, de pyramides consacrées aux cultes, de terrasses et de patios. Le site présente des traces d'occupation allant de la culture initiale de Lambayeque jusqu'à l'occupation inca, comme en témoignent les deux édifices les plus remarquables : la Huaca Larga, aux dimensions colossales (plus de 700 m de long), construite en adobes recouverts d'un enduit peint et le petit Templo de la Piedra Sagrada, fouillé par l'archéologue Alfredo Narváez, qui livra de nombreuses informations sur les pratiques religieuses de l'époque de Lambayeque. Le site de Túcume aurait été abandonné lorsqu'à la nouvelle de l'approche des armées espagnoles sur le dos d'animaux extraordinaires (ils n'avaient jamais vu de chevaux), la population fut prise de panique. En effet, ces envahisseurs auraient été pris pour des dieux mythologiques. Au cours de l'été 2005, 119 corps furent trouvés drogués et décapités, offerts en sacrifices humains. Devant l'échec de leurs offrandes, le site fut abandonné et purifié.
Légende de Naylamp
L'existence de Naymlap, fondateur légendaire de la dynastie des souverains de la vallée de Lambayeque - à laquelle appartiendrait le fameux "Seigneur de Sipan"- sera consignée par le chroniqueur Cabello de Balboa au xvie siècle. Naymlap serait apparu sur les rivages des côtes de Lambayeque, voguant sur une embarcation de roseaux tressés, accompagné d'une suite de quarante nobles et de nombreuses femmes et serviteurs. Il venait très certainement du Pacifique. Certains historiens, notamment Thor Heyerdahl avec le Kon-Tiki, émettront l'hypothèse d'une migration océanienne vers le Pérou. Naymlap s'emparera de la vallée de Lambayeque et en deviendra le roi. Dans l'expression artistique de la culture de Lambayeque, Naymlap apparaît souvent sur les tumis (couteau sacrificiel) en or. Il est représenté avec des ailes d'un oiseau de mer, qui prouveraient la provenance maritime du mythe. La culture antérieure de Chavin privilégiait la représentation des félins.

Source : Wikipedia



mercredi 25 avril 2012

Museo De Sitio Chotuna Chornancap



El Museo de Sitio Chotuna Chornancap es un lugar en donde se exhiben joyas de oro y plata, ornamentos y emblemas de los antiguos gobernantes del Perú, este mismo lugar es donde nació la cultura Lambayeque y de la dinastía que luego reinó en todo el valle.

Allí hay escenas ocurridas hace 1.250 años, podremos ver el mítico desembarco de Naylamp, mitad héroe y mitad dios, todo esto se aprecia a través de óleos y mediante la recreación de una impresionante escena en la que se incluye a 25 maniquíes.

El museo ocupa 95 hectáreas del complejo, y esta ubicado a 10 kilómetros de Lambayeque.
Además también se encuentran los mejores trabajos científicos llevados a cabo por los primeros investigadores que intervinieron en la zona en los últimos 100 años.

Entre ellos destacan los de Enrique Brüning, Hernan Trimborn y Christopher Donan, incluyendo los últimos hallazgos del arqueólogo Manuel Curo.






La Leyenda de Naylamp


Cuadro en plata repujada de una representacion sobre la llegada del mitico
Naylamp a las playas lambayecanas, al mando de una gran flota de naves,
quienes iniciaron la cultura Lambayeque - Juan Cabrejos
Todo empezó como en un cuento de hadas.

Siguiendo la corriente del Niño, algunas embarcaciones en forma de balsa viajaban hacia el sur. La navegación, iniciada en la costa occidental de México proseguía serena y regular sobre la clara inmensidad del océano Pacífico. Encabezaba el grupo la nave del jefe: un inmenso abanico de plumas multicolores adornaba su proa.

Sobre el puente de mando se erguía un hombre de elevada estatura, aspecto aristocrático y altivo, tez clara y facciones netamente semitas; envolvía un voluminoso turbante rematado por una diadema de plumas, sujeta a su vez por una magnífica turquesa.
Naymlap (lengua muchik : Ñam (ave) y La (agua). Ñam La o Naymlap refiere entonces a un ave marina) - éste era su nombre - el héroe divinizado, guiaba su flota hacia la región que más tarde se llamaría Perú. Tras algunos días de navegación, al avistar una playa que le pareció adecuada para sus proyectos, emitió una orden. Las naves viraron hacia el éste. Poco después, la proa de la nave capitana encallaba dulcemente en la arena.



Un nuevo ciclo histórico estaba a punto de comenzar



Junto a la playa había centenares de embarcaciones quietas, en las que se amontonaban miles de hombres, mujeres y niños; pero nadie se movía.

Poco más tarde, un hombre bajó de la nave capitana: era Pitazofi, encargado de hacer sonar la trompa real, un instrumento construido con un caracol llamado Spondylus. Avanzó algunos pasos y luego, llevándose a los labios el nacarado cuerno , la arrancó un sonido ronco y potente.

Acto seguido el jefe de los portadores de la litera real, Nicacolla, bajó a tierra seguido de sus ayudantes. Ellos también se quedaron inmóviles apenas pisaron la playa, mientras resonaba otro toque de trompeta y descendía de la nave otro viajero, con un pesado cofre a cuestas.

Se trataba de Fongasidas, cuya función consistía en esparcir por el suelo, delante del cortejo real, puñados de piedrecillas rojas a fin de proteger de al augusto ocupante de la litera.

Volvió a escucharse la trompa y, seguido por seis hombres que transportaban enormes cajas, desembarcó LLapchilully, encargado del guardarropas real; luego le tocó el turno a Ochocali,¨cocinero-jefe¨,junto con sus ayudantes.

Por último desembarcó Allopoopo, cuya misión era preparar el baño del rey a cada etapa del viaje.

Todos aguardaban inmóviles.

Y he aquí que, sin que resonara la trompa, cuatro individuos lujosamente ataviados y con sendas coronas de oro sobre las sienes, desembarcaron con paso solemne llevando a hombros una litera sobre cuyos cojines estaba muellemente recostada la princesa Ceterni, esposa del rey.

De pronto, una voz ronca dejó oír una orden y todos los pasajeros de la nave capitana se ordenaron en fila sobre la cubierta:Naylamp avanzó entre ellos, estrechando contra el pecho un gigantesco Spondylus. Apenas hubo desembarcado, se postró ante su dios.

Todos los demás pasajeros a tierra ...

¿Cuál fue la primera orden del rey? Tal como harían más tarde los conquistadores, ordenó que se erigiese, en el lugar exacto del desembarco, una señal tangible de su llegada, un monumento que celebrase, de acuerdo con sus intenciones, la alianza entre el mar y la tierra, es decir, entre sus respectivas divinidades: Chia (la luna) y Ra, el dios solar generador de mieses...

Por último, vale la pena recordar que a orillas del lago del Guatavita se celebraba todos los años una ceremonia religiosa que consistía en arrojar al agua algunos trozos de arcilla verde; dichos trozos habían de transformarse, en el interior del palacio lacustre, en una estatuilla que representaba a una rana, naturalmente de jadeíta.

La ciudad de LLampallec está ya edificada, la religión ha arraigado sólidamente, y la economía de la nueva nación es segura y estable. Entonces, tal como ya lo habían hecho Quetzalcóalt yViracocha, el primero respecto a mayas y aztecas, y el segundo respecto a los pueblos andinos, Naymlap decide partir y dejar a su gente.

Acercándose a la orilla del mar, despliega las alas y pronto desaparece tras el horizonte.

Quedaba su hijo, Si-Um, quien reinó sobre el país durante muchos largos años. Antes de morir se hizo encerrar en un subterráneo para dejarle a su descendencia, a manera de legado, el mito de la inmortalidad.

Tres de sus hijos crearon pequeños principiados locales. La dinastía propiamente dicha tuvo aún once representes, el último de los cuales, Fempellec, quiso trasladar a otro sitio la estatua de Naymlap, que, por aquel entonces, estaba en el templo de Chia, la Luna.

Sin embargo, por alguna causa desconocida, no pudo llevar a término su proyecto: cuentan que se le apareció un "demonio" bajo el aspecto de una joven que lo sedujo y le convenció que renunciase a su propósito. 

Estalló entonces una terrible tempestad que duró treinta días, y, cual auténtico diluvio, arrasa con las cosechas casi por completo.

El pueblo, desorientado y preso de irritación ,se reveló contra el soberano, y, tras sumar a su causa a nobles y sacerdotes, los rebeldes capturaron a Fempellec, lo amarraron fuertemente, arrojándole al mar.

Así, por extraña fatalidad, la mítica dinastía de Naymlap, que había llegado del mar, concluyó también en mar. Nadie volvió a ocupar aquel trono hasta que el Gran Chimú de Chan Chan extendió su dominio sobre casi todas las regiones occidentales de América del Sur.

mardi 24 avril 2012

Lomo Saltado


El lomo saltado es un antiguo plato típico de la gastronomía del Perú. Se originó de la mezcla de la cocina cantonesa con la criolla peruana a mediados del siglo XIX.
Receta para 4 -6 personas

Ingredientes : 

1 kg de carne de res (lomo)
3 cebollas medianas peladas, cortadas en 8
1 kg de papa blanca, pelada y cortada para papas fritas
4 ají­ amarillo fresco cortados en tiras
4 tomates pelados y cortados en 8
2 cucharadas de perejil picado
1 cucharada de vinagre tinto
2 cucharadas de sillao
1 taza de aceite
1/2 cucharadita de jugo de limón
Sal
Pimienta


Preparación :

Freir en sartén con media taza de aceite bien caliente, el lomo cortado en tiras. Luego, separar.

Dorar en el mismo aceite la cebolla cortada en tiras largas y gruesas y los tomates, observando que la cebolla mantenga su brillo. Agregar el perejil picado, sal, pimienta, ají­ amarillo cortado en tiras largas, sillao, y vinagre. Observar que el tomate suelte sus jugos sin deshacerse, por 2 minutos.

Añadir la carne y el jugo de limón. Mezclar bien.

Freir las papas cortadas en 1/2 de taza de aceite bien caliente hasta que estén cocidas y doradas. Escurra en papel secante.

Al servir colocar las papas al centro con el lomo saltado encima, puede agregar un molde de arroz para complementar.

Espolvorear con perejil picado.


Moray


Moray est un ancien centre de recherche agricole inca situé dans la Vallée sacrée des Andes, à 3 500 m au-dessus duniveau de la mer et à 50 km au nord-ouest deCuzco, sur le territoire de l'actuel Pérou. Le site de Moray est situé à environ 7 km des salines de Maras.
À première vue, le site se présente comme un amphithéâtre principal et de deux secondaires, plus petits à proximité. Ils sont constitués de plusieurs terrasses disposées en cercle concentriques. En fait il s'agissait d'un centre de recherche agricole inca où étaient pratiquées des expériences de culture.
La position des terrasses crée toute une série de microclimats : la température est plus élevée au centre mais diminue ensuite en fonction de la distance de chaque terrasse. Cela permet de simuler une vingtaine de microclimats différents. On pense que Moray a notamment servi à prévoir les rendements agricoles, non seulement dans la Vallée sacrée mais aussi dans d'autres partie de l'Empire inca. Il semble aussi que les incas y "importaient" des plantes "exotiques" et tentaient de les acclimater aux conditions locales.
Les terrasses sont constituées de murs de soutènement, de terre fertile et d'un système d'irrigation complexe permettant de cultiver plus de 250 espèces de plantes.

Etymologie 
Le mot moray est lié au champ de maïs, qui s'appelait Aymoray, ou au mois de mai qui s'appelle aussi Aymoray, mais également à la pomme de terre déshydratée qui est la Moraya ou Moray.

Histoire 
Le site de Moray, composé d'une série de terrasses, fut retrouvé en1932 par l'expédition de Shirppe Johnson. Actuellement un seulamphithéâtre a été restauré, mais Moray en compte également deux autres plus petits et en moins bon état. L'un de ces deux petits jouxte le plus grand et en est, en fait, une partie intégrante d'un ensemble monumental.

Description
Les terrasses composant le site sont formées d'anneaux concentriques et sont construites sur 10 niveaux.
Chaque niveau est accessible par un système d'escaliers dont les marches sont directement incrustées dans les murs. Chaque niveau mesure environ 2 m de hauteur.
Un bassin situé en haut du site retenait l'eau nécessaire aux cultures. Des canaux d'irrigation apportaient l'eau sur chaque niveau par l'intermédiaire de rigoles creusées dans la pierre.
Les terrasses ont été creusées en suivant les courbes naturelles du paysage. L'épaisseur des murs emmagasine la chaleur durant la journée et la diffuse la nuit. Grâce à cette méthode on a pu obtenir unmicroclimat différent à mesure que l'on descend et se rapproche du centre.
Une différence de température moyenne de 5 °C a été observée, alors que cette différence n'est que de 0,5 °C sur des différences de hauteur comparables au même endroit.

Fonction 
Pour les archéologues de ce lieu, Moray était probablement un centre d'investigation agricole des Incas. La disposition des terrasses produit des microclimats permettant de tenir les cercles à une température élevée et limitant les fortes variations de chaleur. Une vingtaine de microclimats différents ont été enregistrés.
On pense que Moray a pu servir de modèle pour le calcul de la production agricole non seulement de la vallée d'Urubamba et aussi des différentes parties du Tahuantinsuyu.
Plusieurs théories expliquent l'usage de Moray à l'époque des Incas. Selon l'historien Edward Ranney, les Incas utilisaient les terrasses de Moray comme un lieu pour l'agriculture spéciale.
L'acclimatation permettait aux Incas de sélectionner des plants et d'obtenir des meilleures récoltes. Le site produisait vraisemblablement des semences pour d'autres régions.
John Earls déclare avoir découvert des pierres verticales sur les terrasses, les mêmes qui marquent les limites des ombres de la tombée du jour durant les équinoxes et solstices.
Earls en a conclu que chaque terrasse à Moray produit des conditions climatiques de différentes zones écologiques de l'empire inca.
En raison de sa position abritée, chacune des terrasses représente approximativement mille mètres d'altitude en conditions normales de culture. Dans sa totalité, le site entier contient plus de vingt zones écologiques en escalier.
Le lieu de Moray servit également aux autorités incas pour calculer la production annuelle en différentes parties de Tahuantinsuyo.

Folklore
Pendant le mois de septembre, une centaine d'habitants des communes voisines se réunissent aux anneaux circulaires de Moray pour célébrer la Moray Raymi. Les fêtes présentent des danses folkloriques en relations avec la terre, les productions et le travail des champs.

Source : Wikipedia



Frijol Colado

Se llama frejol colado (o simplemente colado) a un dulce peruano elaborado tradicionalmente con una variedad de frejol negro o rojo, miel de chancaca, clavo de olor y ajonjolí tostado para decorar, entre otros ingredientes (vea la receta de frejol colado 'a la antigua'). Dependiendo de la región, se puede usar canela, nuez moscada, anís y vino tinto dulce. En algunas zonas se reemplaza los frejoles negros y la chancaca por frejoles de la variedad canario y azúcar rubia, respectivamente, aunque el sabor no es el mismo (especialmente por la chancaca). Hoy en día, también es muy común el uso de leche evaporada (vea la receta de frejol colado con leche). La decoración se sigue haciendo con ajonjolí tostado, que se esparce sobre cada porción al momento de servir.

Breve Historia

El frejol colado es un postre original de las comunidades afroperuanas asentadas en la región que comprende el sur del departamento de Lima y el norte del departamento de Ica, en Perú. En sus zonas de origen se suele comer el Jueves y Viernes santos de la Semana Santa, aunque fuera de ellas se come en cualquier época del año. En la actualidad es considerado un postre tradicional de los departamentos de Lima e Ica.
Este dulce peruano también es usado, ya tradicionalmente, por la comunidad chino-peruana para rellenar un pan blanco sin corteza hecho al vapor, que se conoce como mimpao.

Receta 
  • 1/2 K. de Frejoles Negros
  • 1 K. de Azúcar
  • 1/2 Cucharada de Canela Molida
  • 1/2 Cucharada de Clavo de Olor Molido
  • 3/4 de Taza de Leche Evaporada
  • 1 1/2 Cucharadas de Ajonjolí Molido y Tostado
Antes de comenzar debemos dejar remojando los frejoles negros toda una noche y pelarlos. Cuando este tiempo pase, cocinarlos (hasta que se deshagan).
Licuar (que quede masa tipo puré) colocar en una olla o cacerola con azúcar, añadir los demás ingredientes y la leche evaporada.
Llevar al fuego, moviendo hasta que tome punto (esto sería cuando se puede ver el fondo de la olla).
Retirar del fuego y ahora solo resta esperar que se entibie.